Archives pour la catégorie Informatique

Why are there three versions of the Web Ontology Language (OWL) ?

The Web Ontology Language (OWL maybe because some non English speaker must have mixed the letters…) exists in three different versions :

  • OWL Lite expresses constraints on and properties of an RDF schema, such as transitivity (if R1 > P1 > R2 and R2 > P2 > R3 then R1 > P3 > R3), and simple min and max cardinality properties of an RDF property (the values of theses cardinality properties can be 0, 1 or illimited).
  • OWL DL expresses « first order descriptive logic » constraints on medata (such as if R1 > P1 > R2 then R1 > P2 > R3), this is much broader as OWL Lite
  • OWL Full enables the specification of generic inference engines but it is still seen by some as a curiosity artefact for researchers

This is my very limited understand of the OWL topic. Please someone correct me if I am wrong (you can do it in French if you want !) !

Microsoft : « Je veux bien arrêter d’abuser, mais seulement pendant une heure. »

Dans l’amphi à Gouri (doit-on plutôt dire l’amphi de Gouri ? ou l’amphigouri ?), on peut lire ce bon résumé de la position actuelle de Microsoft au sujet des poursuites judiciaires dont il (elle ?!) est l’objet : « Je veux bien arrêter d’abuser, mais seulement pendant une heure. ». Plus loin, il est dit :

l’essence ne se duplique pas et se consomme, pas le logiciel, quoique Microsoft serait très content si on devait payer régulièrement pour quelque chose qui se duplique à coût nul et ne se consomme pas

Imaginons l’informatique du futur : « je voudrais trois litres de traitement de texte monsieur le pompiste » ou bien encore « faites-moi le plein de pauvre-point SVP » (aka point-puissant aka point-du-pouvoir)…
Le tout dans une salle de bain… Terrible, non ?

XML.com: The Beauty of REST [Mar. 17, 2004]

Jon Udell nous raconte par l’exemple comment le style architectural REST permet d’intégrer des catalogues de bibliothèques de manière fluide et peu coûteuse (à l’aide de services Web qui n’impose pas nécessairement l’utilisation de briques logicielles supplémentaires pour gérer les protocoles SOAP, WSDL et UDDI). S’il est encore nécessaire de vous apprendre ce qu’est le style architectural REST, ne retenez qu’une seule adresse, celle du site du très RESTafarian Roger Costello.

Architectures orientées services (SOA) selon l’approche REST

Voici quelques liens intéressants pour celui qui veut comprendre ce que l’approche REST peut apporter aux architectures orientées services (SOA) , que ce soit avec ou sans l’utilisation des protocoles SOAP et/ou WSDL (on peut faire une architecture orientée services de style REST avec SOAP et WSDL, même si j’ai du mal à voir l’intérêt que cela représenterait) :

Python compared to Smalltalk

Python has many similarities with Smalltalk. Maybe one can say that Python is the Smalltalk of the Web. Here are some resources that compare Python with Smalltalk :

Marché du Knowledge Management

En rapport avec mon mouton à sept pattes, voici un genre d’aperçu des acteurs du marché du knowledge management vu par le petit bout de ma petite lorgnette :

  • des consultants unp eu visionnaires (ou fumeurs) en KM/intelligence économique/e-learning/veille/capitalisation des connaissances/animation de communautés de pratique pour l’innovation/gestion des compétences/… qui vendent des concepts généraux, des démarches d’animation, des grands projets, et quelques réalisations à travers des micro-éditeurs de niche
  • des micro-éditeurs de niche qui ont bien compris les fonctionnalités à offrir car ils maîtrisent la problématique KM mais n’ont pas les moyens de construire du durable car ils ne sont pas du métier de l’informatique
  • des gros éditeurs qui collent une étiquette KM sur des produits de GED/Workflow/Content Management mais l’étiquette a tendance à se décoller car elle est trop pompeuse pour la réalité de leurs produits
  • des architectes et intégrateurs qui maîtrisent la fonctionnalité informatique mais ne disposent pas encore des technologies informatiques nécessaires (web sémantique) pour réaliser les promesses du KM
  • des sociétés de services en logiciels libres qui essaient de combiner technologies matures et visions fonctionnelles mais qui ont du mal à y ajouter technologies émergentes et vision KM à long terme
  • Que manque-t-il pour compléter le tableau ?

    OWL-S

    Le schéma OWL-S permet de décrire des services Web à l’aide d’ontologies. D’après cette lecture, je crois comprendre que l’on peut

    • soit produire des services Web style RPC (via SOAP et WSDL) et compléter leur description, à plus haut niveau, avec OWL-S (ce qui remplace UDDI dans ce cas),
    • soit produire des services Web style REST (sans SOAP ni WSDL) et faire toute leur description via OWL-S

    Ceci signifierait qu’OWL-S serait un standard dans tous les cas concurrents de UDDI, et dans certains cas complémentaire de WSDL (pour le cas des services Web RPC via SOAP) et dans d’autres cas (services REST), concurrents de WSDL. Est-ce vraiment cela ?

    CIA sémantique

    La CIA suit de près le développement des technologies du Web Sémantique, au titre des logiciels d’analyse de réseaux sociaux :

    There were a couple of presentations in the domain of military and political intelligence – a bit scary, especially when Kendall used one of Libby’s photos in a depiction thing (part of SWINT) asserting I was a terrorist leader. The CIA and co. are the end users of this stuff. Good job I’ve no plans to visit the US in the near future.

    Management associatif

    Le délégué général du Club Informatique des Grandes Entreprises Françaises (CIGREF), Jean-François Pépin, est un expert du management associatif. Alors que cette problématique managériale dans les OSBL est bien connue du monde anglo-saxon (particulièrement aux USA où les « non profit organizations » représentent un secteur économique assez éloigné de nos associations loi 1901) et de nos voisins européens, je m’étonne (un peu) que la réalité associative française ne trouve pas les atomes crochus qu’il faut avec ce concept pour pouvoir s’en imprégner et en tirer profit sans craindre de trop y perdre son âme. J’ai eu le privilège de rencontrer récemment M. Pépin. Et j’ai eu le plaisir de constater qu’il existe un esprit managérial et d’entrepreneuriat dans certaines associations ou, du moins, qu’il existe des promoteurs de cet esprit. Pourtant, en dehors de cette personne, et de certains de ses collègues qui tentent de faire progresser les démarches de management stratégique dans le secteur non lucratif, force est de constater que le chemin que les associations ont à parcourir reste encore bien long avant que… D’ailleurs, est-ce une coincidence si ces deux personnes (JFP et Claude Rochet) s’intéresse tous deux à la fois au management associatif et à l’innovation technologique ?
    Pour ramener la discussion à ma nombriliste personne et à la recherche de mon prochain job, je ne peux que regretter que les associations françaises considèrent que la source particulière de motivation que représente leur mission sociale soit une justification suffisante pour exiger un différentiel de rémunération de 25% par rapport aux prix du marché. En effet, le discours des associations que j’ai pu rencontrer à ce sujet semble être : « Je veux bien vous embaucher, mais je vous préviens que 1/ je n’ai aucune perspective sérieuse d’évolution à long terme à vous proposer (les politiques de gestion RH ? moi ? connais pas.), 2/ si j’avais des sous, je voudrais bien vous payer mais à 25% en-dessous des prix du marché parce que, quand-même, vous avez vraiment envie de venir travailler pour moi ». Ce que ce type de raisonnement peut être agaçant : ces associations ont beau être gentilles et leur « cause » motivante, elles n’obtiendront jamais le niveau de compétence que requiert la professionnalisation de leurs activités si elles n’apprennent pas à faire la différence entre la plus-value sociale de leur projet associatif (la valeur apportée à la société) et la réalité économique du marché de l’emploi (et notamment la valeur, sonnante et trébuchante, apportée au porte-monnaie de leurs salariés). Dommage…

    Classification à facettes

    Je note une certaine convergence vers le concept de « classification à facettes » (« faceted » classification) pour décrire un large ensemble de fonctionnalités qui sont très attendues de la part des technologies du Web Sémantique. Je vous en dis plus dès que j’ai fini mon article à ce sujet… (à suivre, donc)

    SpamBayes

    SpamBayes est un logiciel de filtrage de spam qui s’installe comme un add-in d’Outlook 2000 et utilise la technologie des réseaux bayesiens pour apprendre par l’exemple ce qui distingue un mail peu intéressant (spam) d’un mail à lire rapidement.
    J’utilise ce logiciel avec satisfaction depuis bientôt un an. Et il me permet non seulement de mettre de côté les spams (commerciaux, …) mais également les mails de vers et virus et, surtout, les mails qui me sont envoyés mais qui ne méritent pas une attention immédiate de ma part (mails parapluie, …). J’ai donc appelé le dossier Outlook où Spambayes range les mails peu intéressants : « à lire plus tard ». Lorsque Spambayes hésite sur la classement d’un mail, il me les mets dans un dossier que j’ai appelé : « à trier ». Les autres mails restent dans ma boîte de réception. Si SpamBayes se trompe dans un classement (cela lui arrive rarement), je lui indique le bon classement en cliquant sur le bouton « Delete As Spam » ou sur le bouton « Recover From Spam ».
    NB :

    • c’est un logiciel en version beta d’après ses auteurs (mais il n’a jamais planté sur mon poste ni n’a provoqué d’incident dans ma messagerie), donc à réserver à l’expérimentation
    • l’usage de ce logiciel est très simple une fois installé mais, en l’état, son usage reste réservé à des utilisateurs avertis (pas pour les neuneux)
    • le logiciel requiert un peu de paramétrage à l’installation (créer les dossiers « à lire plus tard » et « à trier », indiquer à Spambayes quels dossiers il doit surveiller comme par exemple la boîte de réception, etc.)
    • le filtrage ne devient efficace que lorsque vous aurez reçu quelques centaines de mails et que vous aurez indiqué à SpamBayes si il s’agissait de spam ou non
    • il est déconseillé de faire l’apprentissage de SpamBayes à partir d’un stock de mails anciens (risques forts de faux apprentissages) ; mieux vaut lui faire apprendre « au fil de l’eau » lors de la réception de nouveaux mails
    • c’est un logiciel libre

    Pourquoi prendre le temps de bien faire lorsqu’on peut faire « vite-fait, mal-fait » ?

    Les solutions « Quick’n Dirty » (vite-fait, mal-fait) sont souvent séduisantes en informatique. Pourtant, le bon sens de l’informaticien expérimenté plaide souvent davantage pour le fait de prendre le temps de bien faire. Alors, comment faire partager ce bon sens aux décideurs non-informaticiens ? Les lecteurs de Slashdot avaient exploré le sujet et proposé diverses pistes.