D’après cette discussion sur slashdot, les différentes variétés de vers pour Microsoft Windows qui ont sévi ces dernières semaines ont notamment contaminé une centrale nucléaire américaine ainsi qu’un réseau de trains de banlieues américain. Dans la centrale, c’est l’un des ordinateurs de supervision de la centrale (affichage des tableaux de bord de pilotage de la centrale, pour les opérateurs humains) qui a planté, sans conséquences notables sur le fonctionnement de la centrale, qui était en phase de repos. Du côté du train de banlieue, c’est le système informatique de signalisation ferroviaire qui a planté, entraînant l’arrêt automatique d’urgence d’un ou plusieurs trains.
Ces épisodes illustrent la relative faiblesse de la sécurité offerte par les pare-feux et les principes de non-connexion de réseaux sécurisés.