Ces mesures montrent que Folding@Home a un impact négligeable (non perceptible par l’utilisateur) sur les performances d’un ordinateur. Les auteurs conseillent, au passage, de faire tourner F@H sous la forme d’un service Windows à partir de sa version « text-only » (sous ligne de commande) combinée à un outil de gestion de services tel que FireDaemon.
Les différents points à examiner pour promouvoir l’utilisation de F@H dans un contexte « corporate » sont : l’impact sur les performances des postes de travail, la compatibilité avec l’architecture du réseau (F@H fonctionne -presque- correctement avec un proxy HTTP classique), l’intégrabilité sur le poste de travail même si celui-ci est téléadministré (faisable a priori, à condition de créer, dans les scripts d’intégration, les usernames correspondant à chaque profil), la consommation en bande passante (je ne dispose d’aucune mesure pour le moment), la consommation électrique (non négligeable a priori) et, critère sans doute déterminant, la communication non seulement auprès des utilisateurs (communication interne) mais aussi, éventuellement, auprès du public.
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