De la présentation d’un symposium sur « le Web Sémantique qui émerge » (trouvez-moi une meilleure traduction SVP), je retiens les points suivants :
- le WS permet aux machines d’automatiser, d’intégrer et de réutiliser des données entre applications
- le WS requiert un langage de formalisation des connaissances
- ces connaissances permettent, en s’appuyant sur des ontologies, de décrire le contenu de sources d’information et les conditions de fonctionnement de services Web
- le modèle UML, les langages de description d’ontologies pour le web, le modèle et la syntaxe RDF, le dialecte XDD (tiens, je ne le connaissais pas, celui-là) sont des outils proposés pour le réalisateur d’applications web sémantiques
- les services web trouvent dans le WS des dialectes XML de description, des solutions de découverte de nouveaux services appuyés sur des ontologies.
- les ontologies permettent l’indexation sémantique de site web et peuvent s’appuyer sur des des framework d’annotation sémantique et des offres de solutions aux performances adéquates pour une utilisation à grande échelle
- plusieurs ateliers logiciels sont proposés par les chercheurs pour l’intégration d’ontologies ; ces frameworks offrent une forte évolutivité (« scalabilité »), la résolution des contradictions entre ontologies et le support de formalisation hétérogènes d’ontologies
Autrement dit, la promesse du WS pour l’entreprise (notamment), selon ce symposium, c’est de permettre l’intégration des données de l’entreprise grâce à une formalisation des connaissances appuyée sur 1/ des spécifications techniques (langages, modèles) dédiée à l’expression de connaissances, 2/ des outils logiciels d’intégration de référentiels (ontologies).